Hélène Jacubowitz - Luis Salazar

Vernissage le jeudi 15 mai à 18h

Son oeuvre se caractérise par sa limipidé, Hélène Jacubowitz remodèle en image le monde extérieur, mais c’est dans le monde intérieur qu’elle déploie son univers intime. De graciles sculptures s’élancent dans l’espace pour signifier le mouvement, Jacubowitz cherche la ’substantifique moëlle’ des êtres, elle épure ses modèles tout en préservant l’élégance, la grâce. Elle exulte en tendresse, elle effleure la joie. C’est un orfèvre dans le malaxage de la glaise. Professeur Marcel van Jole Vice-Président AICA

Si la couleur est un langage, c’est le cri que l’on perçoit, une symphonie de cris de joie ou d’indignation, de révolte ou d’exaltation, d’espérance ou de résistance. Si le tableau est une structure, la peinture de Salazar possède son style unique, irréductible à la comparaison. Rares sont les plasticiens que l’on reconnaît d’emblée pour avoir construit leur propre code. Luis Salazar libère une tessiture de voix que l’on identifie à coup sûr. Il y a ses aplats gorgés de couleurs pures, ses confrontations de chauds et de froids, ses contrastes d’ombres et de lumières, de pleins et de vides, ses jeux aléatoires du stable et de l’instable. Louis Richardeau Luis Salazar ou le chaos organisé

Helene Jacubowitz - Luis Salazar