press release only in german

Née à Stockholm en 1972, vit et travaille à New York. Ses performances filmées sont projetées dans les espaces d’exposition dans un format plus grand que nature. Les hommes et leurs stéréotypes qui en constituent le sujet récurrent sont pris dans des situations banales : fumer un cigare (Cigar, 1999), promener un chien (Dog, 2001). L’investigation est lente et a lieu dans des décors minimalistes sur les musiques électroniques de Tobias Bernstrup. La vidéo New Gravity explore à nouveau les codes esthétiques et le comportement masculin. Des adolescents se laissent bercer par une musique électronique. Annika Larsson filme ces corps en gros plans s’attardant sur le visage et les pieds, points de contact avec le sol qui les maintient dans l’espace social mais qui ne cesse de se dérober. Apparaît l’image 3D d’un homme qui fait face à un des garçons. Cette figure irréelle révèle un monde dans lequel l’image technologique, sans gravité devient un modèle dangereux que le garçon essaie de suivre.

Pressetext

only in german

Annika Larsson